Famille Wartner

Wartner

Klaus, Bernard et Stéphane Wartner, hôteliers

J’aurais pu encore ajouter Anne, la femme de Klaus et Alexandra, la femme de Stéphane, car ils travaillent tous ensemble.

Klaus, troisième génération d’hôteliers et Bernard et Stéphane, quatrième génération, on devrait pouvoir trouver des gènes d’hôteliers dans leur ADN !

Klaus :

J’aime ce métier, car on a tellement de contact avec les gens, c’est très humain, même si c’est dur, le contact fait plaisir, il n’y a pas un jour qui est le même, c’est tellement varié.

Lorsque tu es jeune, tu n’as jamais peur de ne pas trouver du travail et en plus avec ce métier, la porte est ouverte aux voyages.

Bernard :

Je suis reconnaissant envers mon père qui m’a tout montré à l’hôtel. Je suis le maître d’hôtel, je suis le responsable du restaurant.

Pour moi, c’est comme un théâtre, ce que j’aime, c’est jouer comme au théâtre dans une mise en scène de restaurant, j’adore ça.

Stéphane :

Sans y avoir été contraint, c’est le plaisir de pouvoir travailler en famille. Avant, j’ai eu la possibilité de travailler à l’étranger, de faire d’autres expériences, comme en Thaïlande, en Autriche, en Angleterre et en Suisse, au Baur au Lac de Zurich, entre autres. Et, en plus, c’est grâce à l’hôtellerie que j’ai rencontré ma femme !

Je n’insisterai pas sur la formation, mais que conseillerez-vous à un jeune pour faire ce métier ?

Proposition familiale :

Avoir une bonne base scolaire, la culture générale la plus importante possible, pouvoir parler de tout sans être un spécialiste, s’intéresser à tous les sujets et être polyglotte.

Dans notre métier, tu es tout, tu es médecin, psychologue, psychiatre, tu dois détendre l’atmosphère même si ta clientèle est stressée, malheureuse, pleine de problèmes, il faut qu’elle revienne !

Eurotel Victoria

1865 Les Diablerets

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