On nous a inculqué que Dieu, le septième jour,
de sa grande mission, ayant donné le tour,
se reposa sur ses lauriers, le devoir accompli.

Je crois, moi, qu’il s’est rendu compte, contrit,
de l’immense imbécillité de la race humaine,
créant, ma foi, beaucoup trop de problèmes,
raison pour laquelle il nous offrit Schumann,
Mozart, Bach, Beethoven, Schubert, Telemann,
pour diminuer nos souffrances, alléger nos peines,
et pour tenter, bien inutilement, d’atténuer la haine.